organisation, transports, suite…

Avant de partir vers l’île de Luekang Loe, nous avions déjà eu des contacts pour effectuer le voyage retour vers Makassar: 5h de kijang, « charterisé » ou pas, + le taxi a 100000 au moins, jusqu’à l’aéroport. on nous avait parlé de 750000 pour le kijang charter. Sinon, la même somme divisée par 10 passagers possibles pour chaque place. A luekang Loe, nous avons appris que l’on pouvait acheter un billet « one class », c’est-à-dire une rangée pour nous et nos bagages.
Le conducteur du kijang m’a appelé 2 fois quand nous étions sur l’île, nous avons préféré attendre, au cas où nous trouverions d’autres passagers ou solutions.
Nous avons accepté une autre proposition par téléphone, direct vers aéroport, négociée par quelqu’un de la guesthouse. On avait l’impression d’assurer, les compagnies low-cost ayant tendance à retarder ou déplacer leurs vols.
Retour à Bira la veille du départ, prévu à 6h, vers Makassar. Nous reprenons un bungalow bord de plage et le propriétaire s’enquiert de notre moyen de transport.
Aïe! Quel pataquès ! Après plusieurs échanges par téléphone, rencontres -est-ce le syndicat des kijang qui est intervenu?-, notre avance a changé de mains, malgré nos protestations. Nous nous sommes retrouvés le lendemain dans le kijang prévu au départ, seul habilité à nous transporter apparemment (histoires de licence).
Il a prévu un taxi vers l’aéroport pour la suite, pour le même prix, et nous allons y arriver plus tôt que prevu, vers 11h!
de Bira à Makassar (ou l’inverse…)

image fournie par un autre site, on y voit les différents moyens de transport. Bira en E, Makassar en C.

Le long de la route, après la végétation assez réduite et peu productive de la pointe de Bira (sol pierreux, aride, peu de pluies), nous passons à des paysages plus luxuriants.
Après Jeneponto, de nombreux petits chevaux dans les champs, ils sont utilisés pour tous les transports, spécifiquement dans ces villages.
chevaux_1
Joli spectacle que ces chevaux dans les rues, autour des rizières. Et côté mer, une succession de marais salants.
marais_1
Quelques kms plus avant, sans réelle transition, ce sont les buffles qui ont repris leur place dans les rizières…
Après Bantaeng, l’habitat se resserre, plus beaucoup de cultures des 2 côtés de la route: l’Indonésie, c’est près de 300 millions d’habitants, Makassar est une métropole de plus d’1 million d’habitants, qui présente peu d’intérêt pour nous, nous a-t-on dit.

Une réponse à “organisation, transports, suite…”

  1. Jean-Claude Legendre Says:

    Salut les copains.Contrairement à vous notre trajet Bira / Macassar s’est parfaitement passé, le copain d’irma nous attendait sur la plage (nous avions passé la dernière nuit sur l’ile  » Kassi pute » n’étant plus un bon plan suite à ton mail ).
    Charter direct jusqu’à notre hotel de Macassar pour 500.000 rp puis retour sur la France via Djakarta.
    Suivons votre périple avec vos enfants profitez en bien.
    Bisous. J.claude.

Laisser une réponse

Tout droits réservés © 2008 Design de StyleShout et Clazh traduit par WordPress tuto