Delhi est une ville très organisée, claire (sauf Old Delhi, la vieille ville et son capharnaüm). Nous avons vu beaucoup d’arbres (ici on ne les coupe pas, les barrières ou les murs d’enceinte les intègrent !), des parcs, et cette zone verte immense au sortir de l’aéroport, véritable poumon pour la ville). Cela semble bien moins pollué qu’à Katmandou.
Pour rejoindre le site du Taj Mahal, à Agra, nous montons dans des véhicules électriques. Ceci pour protéger le site de la pollution. Cela ne semble pas gagné, au vu du brouillard qui en estompait les contours, lorsque nous approchions du parking.
Il semble pourtant que le pays ait pris le problème de la pollution à bras le corps : il y a des pancartes très visibles, autour de plantations récentes au bord des voies d’accès à la ville, qui engagent le citoyen à « planter un arbre, un au moins ». Mais ces jeunes pousses ne paraissent pas se sentir très bien…
Le guide nous a dit d’emblée, en venant de l’aéroport, que par exemple les petits véhicules très polluants (rickshaws à 3 roues…) avaient été sommés de passer de l’essence au gaz, que la pollution en avait été fortement réduite, et que la ville de Delhi était l’une des 10 villes les plus « vertes » et moins polluées d’Asie.
Cependant que dire de ces embouteillages monstres ? Il faut 2h pour rejoindre la ville. Encore beaucoup de travail, le métro qui s’étend sera peut-être l’une des solutions.